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Best Of 2005 | |||
The Album Leaf : In A Safe Place Il suffit de très peu de choses pour arriver à créer l’émotion. The Album Leaf le prouve par une musique minimaliste où il ne reste que l’essentiel. Enregistré en Islande dans le studio de Sigur Ros, ce disque donne vraiment l’impression que l’endroit a quelque chose de magique. La chronique |
Antony And The Johnsons : I Am A Bird Now Ames sensibles s’abstenir. Antony est sûrement un des artistes les moins joyeux que je connaisse. Mais son spleen est tellement touchant qu’il en devient irrésistible. Et sa voix si particulière n’a pas fini de vous poursuivre. Jusque dans vos rêves. La chronique |
Arcade Fire : Funeral S’il y a un album de l’année, pour moi c’est celui là. S’il y a un seul album à acheter cette année c’est celui là. Pourquoi ? Parce qu’Arcade Fire représente ce qui est arrivé de plus beau au Rock depuis des lustres. Une musique qui semble venir directement des tripes et de l’âme, sans aucun calcul. Complètement indispensable. La chronique |
Bloc Party : Silent Alarm Il est de bon ton d’incendier aujourd’hui ce qu’on a adoré la veille. C’est la mode. C’est ce qui est en train d’arriver à Bloc Party, phénomène du début d’année 2005. Et pourtant, si ceux qui les assassinent aujourd’hui prenaient le temps de réécouter l’album, ils se rendraient compte qu’en dehors de tout effet de mode, il contient un sacré paquet de grandes chansons. La chronique |
Depeche Mode : Playing The Angel On pensait ne jamais les revoir ensemble. Non seulement, ils nous ont fait le plaisir de continuer à exister, mais en plus ils nous reviennent avec leur album le plus dense et passionnant depuis longtemps. Une pierre de plus à un édifice qui commence à ressembler à un monument historique. La chronique |
Echo And The Bunnymen : Siberia Depuis leur reformation, Echo And The Bunnymen n’avait jamais réussi à atteindre de nouveau les sommets du passé. C’est maintenant chose faite avec ce Siberia vibrant et vital. La chronique |
Editors : The Back Room Dans la foultitude des groupes à résonance 80’s, bien peu existeront encore dans 2 ou 3 ans. Certains ont plus de chances que d’autres de résister au temps. Simplement parce que leur musique est plus brillante que la moyenne et ne se contente pas de s’accrocher aux gimmicks d’une époque. Editors a tout l’avenir devant lui. La chronique |
Eels : Blinking Lights And Other Revelations Dans l’absolu, le dernier album de monsieur E. ne mérite peut être pas de figurer parmi les meilleurs de l’année. Mais j’ai une affection toute particulière pour l’univers et le Blues décalé du bonhomme. En fait, sa musique me touche, je crois que c’est ça la vraie raison. Et si ça peut permettre à certains d’entre vous de le découvrir, ce sera parfait. La chronique |
Franz ferdinand : You Could Have It So Much Better Encore eux. En général, quand un groupe démarre aussi fort que celui là, il se prend une gamelle au premier virage. Pas eux. Au contraire, ils nous reviennent avec un album encore plus fort, encore plus percutant, encore plus dansant, encore plus réussi, encore plus tout... Une réussite totale. La chronique |
Guster : Keep It Together Tous les ans, il y a un groupe qui trouve le moyen de m’éblouir à grands coups de mélodies Pop. Cette année, c’est Guster qui décroche la timbale. Leur album brille de mille feux et déborde de popsongs parfaites. La chronique |
Isis : Panopticon S’il y avait une palme du groupe le plus inventif de 2005, Isis l’aurait sûrement (ex æquo avec Mars Volta et Oceansize). Leur Rock dépasse toutes les frontières connues et vous emmène dans des mondes qui restent à découvrir. La chronique |
Mars Volta : Frances The Mute Le groupe le plus libre du monde s’appelle Mars Volta. Jamais un groupe n’est allé aussi loin dans la création débridée et sans barrières. Leur musique part dans tous les sens et revisite tous les genres. A tel point que c’est parfois difficile à suivre. Mais c’est le prix à payer pour une telle créativité. La chronique |
Mickey 3D : Matador Moi, j’aime leur musique. Parce que sous des faux airs gentils et pré-adolescent, leur musique et leurs mots en disent bien plus que pas mal d’autres confrères nettement plus bruyant et revendicatifs. Comme quoi, la force d’un propos ne dépend pas du nombre de décibels, mais plus de l’intelligence. Et du talent, en ce qui les concerne. La chronique |
Oceansize : Everyone Into Position Un peu à la manière d’Isis, Oceansize est en train de se créer un univers parallèle où les genres se marient pour aller encore plus loin. Leur musique, qui va du Metal au Post Rock en incluant aussi à peu près tout ce qui se trouve au milieu, est simplement impressionnante. Maîtrisée et inventive, elle mérite un large détour. La chronique |
Stars : Set Yourself On Fire Montréal est vraiment l’endroit où ça bouge en 2005. Non seulement les groupes se bousculent au portillon, mais en plus, dans le tas il y en a d’excellents. Stars par exemple, qui ressemble à une parfaite synthèse de ce que la Pop Indé peut offrir de meilleur. La chronique |
The Sunday Drivers : Little Heart Attacks La très belle surprise venue d’Espagne. Sans la prise de tête (et la grosse tête) des écuries anglaises ou américaines, ils étalent tranquillement leurs talents Pop tout le long d’un album ensoleillé et à la bonne humeur très communicative. La chronique |
Têtes Raides : Fragile Sombre et tendu. Mais beau et attirant. Voilà un peu le résumé de Fragile qui est sûrement l’album le plus Rock des Têtes Raides depuis une éternité. Un album très différent de ce qu’ils nous avaient habitués à entendre ces dernières années. La machine est (re)lancée. La chronique |
Trisomie 21 : Happy Mystery Child Il y a des retours plus marquants que d’autres. Trisomie 21 nous revient avec son meilleur album depuis leurs débuts, tout simplement. Jamais les climats froids du groupe n’avaient si bien cohabités avec la lumière. La chronique |
22 Pistepirkko : Drops & Kicks Une des belles surprises de l’année nous vient de Finlande. Les 22 Pistepirkko, dont on n’attendait plus grand chose pour être franc, reviennent avec un disque rempli à raz bord d’un Rock chaleureux et amical qui vous met le sourire aux lèvres. La chronique |
Vitalic : OK Cowboy L'Electro française peut encore être enthousiasmante. La preuve, le dijonnais Vitalic a créé un album qui contient tout ce qu'il faut pour ranimer la flamme : de l'ambition, de la profondeur, de l'invention et une pelleté de tubes en puissance. La chronique |
Weepers Circus : La Monstrueuse Parade En dehors des sentiers battus et des recettes toutes faites, les Weepers Circus continuent à s'inventer leur propre univers, entre chanson et Rock, entre poésie et influences classiques. Les Weepers Circus sont inclassables et c'est une belle qualité par les temps qui courrent. Cet album, comme les précédents est un bijou à découvrir d'urgence. La chronique |
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