Un logement 4 ****

Nous avons été hébergés durant trois jours au chalet du CAF, en plein milieu des montagnes du Ballon d'Alsace.

 Après quatre heures de souffrance au milieu de nulle part, perdus dans les montagnes et coupés du monde, nous voilà accueillis au chalet par un homme à l'allure de Cro-Magnon, petit, barbu, poilu. En fait, c'est le gardien du chalet du CAF, Etienne pour les intimes. 

Il nous a fait visiter son immense villa à deux étages. Au rez-de-chaussée, deux douches souvent froides et sales, 6 WC, parfumés de plusieurs odeurs  !!! Puis découverte de l'étage supérieur. L'immensité des salles rustiques nous fit tourner la tête : six pièces dont trois chambres de six à dix lits, une cuisine très spacieuse équipée pour faire de succulents repas et une salle à manger. 

Dans les chambres et les douches, nous étions en collocation avec de sympathiques araignées.

Feux de bois et bons repas nous ont accompagnés tout au long de notre séjour. 

 Mylène LACOMBE Ismée FAULA

La salle à manger ... un endroit convivial et chaleureux !

Cuisine : les pros en action

Menus de grands chefs 

Lors du séjour dans les Vosges, nous avons mis sur pied un planning pour les repas. Le mercredi soir, c'était un désastre ! En entrée, tomates au basilic (sans basilic…), puis en plat principal, tartiflette… mais pas assez de patates ni de fromage. En dessert : un yaourt sucré. Hum ! C'était bon !!! 

SPECIALITE ALGERIENNE 

Jeudi midi : Les pros sont entrés en piste. En entrée : une salade verte " banale ". En plat principal : riz à la chakchouka. La chakchouka est composée de poivrons qu'on fait revenir avec des tomates, de l'ail, de l'huile, du sel fin et du poivre. Succès phénoménal ! En dessert : camembert et emmental.

REPAS SOMPTUEUX

Aventuriers en action 

Jeudi 10h00, arrivée à l'Acropark. 

Les responsables et moniteurs du site nous accueillent. Après, les explications des règles de sécurité et des manipulations à effectuer lors du parcours, on nous distribue des baudriers et des casques. 

L'aventure peut commencer ! 

Nous sommes séparés en deux groupes pour éviter les embouteillages .Enthousiastes, les élèves se précipitent sur le parcours. 

Les sensations fortes commencent ! 

Dès le départ, des groupes de niveaux se forment : faibles, forts et mêmes cinglés ! 

Entre les plus courageux et les plus faibles, une entraide importante s'installe ! Cris de joies, cris de frayeur. Le vertige paralyse certains, d'autres réussissent à vaincre leurs craintes. Deux cinglés prennent les devants et affrontent la piste rouge, de niveau supérieur. La pluie et le mauvais temps ralentissent leur progression sur des chemins de câbles et de planchettes instables devenus glissants et périlleux. Pour terminer leur parcours, ils se sont offerts des sensations fortes accrochés à un long câble : la tyrolienne.

 A l'issue de cette épreuve, chacun fait part de ses impressions, de son stress et de ses poussées d'adrénaline. Certains sont heureux d'avoir pu vaincre leur vertige en si peu de temps ! 

C'est dans la bonne humeur que nous quittons l'Acropark. 

Une expérience à recommencer ! 

Jean-Marc PRESTON et Yolène ZOLLA

Les aventuriers prêts à partir à l'assaut des arbres de l'Acropark