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Mardi, 10 janvier 2006 |
LE TSUNAMI : LE VERDICT D’UNE CATASTROPHE
Le 26 décembre 2004, un séisme d’une magnitude de 9,3 au large de l’île Sumatra fait surgir une vague de 15 mètres, provoquant un raz-de-marée ravageant tout sur son passage.
Un bilan effroyable :
La catastrophe naturelle a laissé derrière elle 231000 victimes, soit 50000 disparus. Plus d’un tiers des victimes n’étaient que des enfants. Un an, plus tard 67000 personnes vivent toujours dans des tentes, 37000 dans des petites cabanes de bois et plus de 40000 ont été recueillies par leurs proches. Les pertes économiques sont estimées à 4,5 milliards de dollars.
Les ONG : (Organisations Non Gouvernementales)
Cette catastrophe a déclanché un élan de solidarité. 13,6 milliards de dollars ont permis de construire 46000 habitations sur les 580000 détruites. Quelques 3,5 millions de personnes ont reçu l'aide de l'UNICEF. Bien sûr, la croix rouge et médecins sans frontières ont contribué au bien être de la population en amenant : - des vivres - des médicaments et aussi un soutien psychologique.
Les mesures prises
Après le passage du Tsunami grâce aux OGN plusieurs mesures ont été prises :
- des écoles ont pu être reconstruites ou réparées : - 1220099 enfants ont pu être vaccinés contre la rougeole - près de 1,4 millions d’enfants ont reçu des fournitures scolaires d’urgence.
Bien sûr, d’autres personnes vivent encore sous des toiles de tentes et ne pourront regagner leurs logements dans un an seulement.
ABLAK Nurhan, BRAGHIROLI Mélanie et HENSINGER Stéphanie
FACE A LA MORT
Vincent Humbert, jeune pompier, a été victime d’un accident de la route, qui l’a rendu tétraplégique. Sa mère l’a aidé à mourir…
Après un accident de la route survenu en 2000, Vincent Humbert est devenu tétraplégique. Cette maladie est une paralysie des quatre membres causée généralement par une rupture de la moelle épinière. Après 3 ans passés à l’hôpital de Berk sur Mer, sa mère, Marie Humbert et le Docteur Chaussoy, lui ont injecté une dose de barbiturique qui a mis fin à ses jours.
Alors que Marie Humbert a été mise en examen pour « administration de substances toxiques commise avec préméditation » et le docteur Chaussoy pour « empoisonnement avec préméditation » tous deux ont été mis en liberté, car le procureur de Boulogne sur Mer a déclaré un non-lieu car ils ne sont responsables de leur acte. Pour lui, Marie Humbert et le Docteur Chaussoy ont agit sous une pression morale.
Le Docteur Chaussoy est bien évidement soulagé de ne pas aller en prison, mais Marie Humbert a déclaré publiquement « on a volé le procès de mon fils » car elle était prête à subir les conséquences de son acte pour que la loi contre l’euthanasie change.
Faesch Maryline et Green Sarah |
Directeur de publication : M. A. Vervaeke
Rédacteur en chef : Alexandra Avezedo |
page 2 |
Journal du Lycée Roosevelt Mulhouse édition du 10 janvier 2006 pages 1 - 2 - 3 - 4 |