De nos jours, ces disciplines ont le droit d’exister et sont pratiquées par des membres du corps médical au sein même d’hôpitaux. Alors j’espère que dans un futur proche les mentalités continueront d’évoluer et que certaines portes, closes jusque là, commenceront à s’ouvrir...
Pour en finir, puisqu'il faut bien que je m'arrête, je voudrai juste encore reprendre un témoignage, celui de Mme Francine Joseph-Murphy :
«J’ai vu, à Londres, un garçon de 6 ans, brûlé au troisième degré. Il avait des moignons à la place des doigts. Alors, forcément, il avait peur de toucher quelque chose. L'hôpital a fait appel à une bénévole qui est venue avec son lapin. Quand le gosse a eu sur les genoux cette boule de poils qu'il avait tellement envie de caresser, le déclic s'est produit; au fil des visites de la bénévole, il a oublié son appréhension».