L'ingénieur électricien dispose d'une vaste culture technique, qui inclut toutes les connaissances nécessaires à la résolution d'un problème industriel : réseaux et machines électriques, conversion des courants, automatismes et informatique (pour contrôler et commander les équipements : moteurs ou alternateurs...). Incollable sur les normes de sécurité et de construction, ce professionnel connaît un ou plusieurs langages de programmation et maîtrise toutes les fonctionnalités de la conception assistée par ordinateur (CAO) : recherche de solutions techniques, calculs, réalisation sur écran de la maquette 3D d'un produit.
Les qualites requises dans ce métier sont : avoir beaucoup de contact L'ingénieur doit avoir le plus de qualités possibles, ces qualités sont : communiquer avec le personnel, s'avoir organiser seul, planifier, diriger des équipes. Une bonne maîtrise de l'anglais se révèle indispensable pour lire les documents techniques ou mener une négociation.
Dans des secteurs comme la chimie, l'automobile ou l'agroalimentaire, ce professionnel améliore les équipements de production (ligne de fabrication, robots...). Chez les constructeurs de matériels électriques (Alstom, Legrand...), il travaille en bureau d'études à la création des nouveaux produits, organise les essais, définit les méthodes de fabrication.
Dans les services, il exerce ses activités chez les installateurs ou les sociétés d'ingénierie électrique (Cegelec, Clemessy...), mais également dans les sociétés de maintenance industrielle.
Autre débouché important : EDF, et les sociétés de transports (SNCF, RATP). Le CNRS (centre de recherche public) accueille également des ingénieur électriciens.
Le salaire d’embauche dépend du secteur d’activités de l’entreprise et de l’efficacité du jeune diplômé. Un ingénieur débutant peut espérer un salaire mensuel moyen entre 2 134 et 3 600 € brut par mois. Le salaire augmente avec l'encienneté. Et augmente aussi suivant les primes.