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Au
cours de sa formation, l'ingénieur électronicien reçoit une double compétence
en électronique et informatique. Elle lui permet de travailler aussi bien
sur la partie matérielle des produits (cartes électroniques où sont
implantés les composants) que sur leur partie logicielle (programmes qui
traitent les signaux numérisés, composés de 0 et de 1). Il peut également
se spécialiser dans l'une des grandes familles de l'électronique :
traitement du signal (traitement du son, traitement de l'image...), micro-électronique
(conception et fabrication de puces), hyperfréquences (utilisées en télécommunications...).
Parmi les qualités recherchées : créativité , bonnes capacités
d'analyse et de synthèse , sens de l'organisation, et réelle aptitude
à communiquer. La maîtrise de l'anglais est indispensable. |
20% du
prix d'une voiture en 2003, 35% prévus en 2006. Les applications de l'électronique
dans l'industrie automobile ne cessent de progresser. On pourrait faire le même
constat dans tous les secteurs d'activité. L'électronique apparaît ainsi
comme une technique stratégique, indispensable à la compétitivité de l'économie.
Malgré les difficultés actuelles rencontrées sur le marché du travail,
l'avenir semble donc prometteur.
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Les ingénieurs débutent généralement dans un services d'études. Leur carrière peut ensuite s'orienter vers des postes de chef de projet, de responsable d'unité de production ou de commercial (ingénieur d'affaires...). Côté rémunération, le salaire varie en fonction du secteur d'activité. Un ingénieur commence avec un salaire moyen de 3 250 à 3 500 € bruts par mois, qui progresse rapidement. |
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