![]() 4 mètres à tout faire ![]() |
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UN NOM BIZARRE ?
Mon choix fut porté sur une machine de 4 m. La matrice fût réalisée en modifiant mon vieux fuselage de Speed Astir, et le moule achevé en deux jours complets, selon la méthode décrite à la page des moules. C'est donc en Juillet 1989 que je réalisais mon premier moule. Et pourquoi ce nom de Blanche-Neige... Peut-être parceque dans ce domaine ce fut là une première fois.
L'EVOLUTION DES AILES
Ci-dssous quelques variantes d'ailes exploitées avec succès. Dans les notes qui suivent, le calage d'aile ou de stab est l'angle que fait l'aile ou le stab par rapport à la ligne de vol. Pour le Blanche-Neige, j'ai choisi une allure de vol, queue ni trop haute ni trop basse.
LE FOURREAU DE CLE D'AILE
A LA PENTE
A force de faire de la pente on constate vite que les machines souffrent beaucoup plus que leur homologues en plaine, surtout au niveau des ailes. C'est pourquoi je n'emploie plus que de l'abachi de 10/10 pour le coffrage. Pas de train rentrant non plus, une simple roue de 75 mm amortis bien les chocs.
COSTAUD MAIS PAS LOURD
Toujours la cravatte en 80 g/m² à l'emplanture qui termine en pointe sur le premier tiers de l'aéro-frein. A l'endroit des servos, un losange du même grammage. Pour les ailes les plus épaisses, comme celles avec l'Eppler 201, une bande de tissu unidirectionnelle 220 g/m² de 50 mm de large, court tout le long en guise de longeron, dessus et dessous bien sûr. Attention au carbone si vous êtes en Multiplex. Sinon, les ailes d'une épaisseur relative inférieure à 11 %, recoivent un longeron vertical en plus.
BON POINT POUR LA POLYVALENCE
En se cantonnant dans des envergures de 4m à 4.5 m, les charges alaires oscillent entre 48 g/dm² et 60g/dm². Ces valeurs donnent de très bon résultats pour gratter, et les ailes sont largement solide pour encaisser toutes les fantaisies en l'air.